Objet de recherche 1/3
Janvier 2018
École des beaux-arts de Nantes
Pour cette 25ème rencontre des PUI, nous recevons l’artiste Gilles Bruni, qui réalise depuis plus de vingt ans des installations paysagères sur site. L’œuvre in situ, en contexte, opère parla présence aux lieux, que ce soit dans l’immédiateté de la relation ou dans une fréquentation différée.
“L’être-là” est une des conditions de la pratique de Gilles Bruni, son geste rend manifeste des arrangements par l’accommodation d’ingrédients - le végétal y occupe une place importante - attachés aux sites. Il favorise l’apparition de formes par l’émergence de points de vues, pour lesquels le recours à l’image, tant mentale que matérielle, constitue une modalité de construction.
Pour Gilles Bruni, l’usage de l’image photographique donne lieu à de multiples occurrences. Envisagée à la fois comme objet et matériau de recherche, elle est dotée d’une fonctionnalité que ne dément pas sa plasticité - qu’il l’utilise pour prendre des notes, pour explorer un terrain, pour échanger, pour élaborer et documenter une pièce - l’image photographique est tout à la fois moyen de production et surface d’inscription de l’œuvre.
“L’être-là” est une des conditions de la pratique de Gilles Bruni, son geste rend manifeste des arrangements par l’accommodation d’ingrédients - le végétal y occupe une place importante - attachés aux sites. Il favorise l’apparition de formes par l’émergence de points de vues, pour lesquels le recours à l’image, tant mentale que matérielle, constitue une modalité de construction.
Pour Gilles Bruni, l’usage de l’image photographique donne lieu à de multiples occurrences. Envisagée à la fois comme objet et matériau de recherche, elle est dotée d’une fonctionnalité que ne dément pas sa plasticité - qu’il l’utilise pour prendre des notes, pour explorer un terrain, pour échanger, pour élaborer et documenter une pièce - l’image photographique est tout à la fois moyen de production et surface d’inscription de l’œuvre.